La PAL de l'enfer - Angoisse, gestion ou lâcher prise ?

 Bonjour, bonsoir,

Je vous retrouve aujourd’hui pour vous parler de la PAL !

Pour certain c’est un ravissement car elle s’apparente à une librairie personnelle, pour d’autres elle est neutre et enfin pour ceux qui restent elle peut être une véritable source d’angoisse. Elle peut être courte, d’une longueur raisonnable ou bien, extrêmement longue.

En bref, on a tous un rapport particulier et singulier avec notre PAL et aujourd’hui je voulais vous parler du mien.

Je ne suis pas une adepte des bonnes résolutions et changement drastiques pour la nouvelle année. Mais cette année, j’ai voulu profiter de la nouvelle année pour faire du tri et du rangement chez moi. Bien évidemment, ceci passe par une revue De ma bibliothèque et un tri des livres qui n’ont plus leur place chez moi. Ce faisant, quelle n’a pas été ma consternation de constater que le nombre de livres dans ma PAL : beaucoup. Vraiment beaucoup. Un peu plus d’une centaine à vrai dire.

Je savais que ma PAL était longue, voire très longue. Mais je dois avouer que je ne pensais pas en arriver là.

Je fais l’autruche depuis plusieurs années et comme ma PAL est disséminée çà et là dans ma bibliothèque, je n’avais jamais vraiment pris l’ampleur du problème.

Je dois avouer que me rendre compte du nombre de livres qui composait ma PAL a provoqué chez moi une certaine bouffée d’angoisse. Je fais donc partie de ces gens pour qui la PAL est source d’angoisse.

De ce constat est né une résolution pour 2023 : trier ma PAL, me débarrasser de ceux qui ne me font plus vraiment envie et limiter les achats à 1 livre tous les 3 livres lus.

Les vacances de février approchent dans ma zone et mon métier fait que les semaines sont beaucoup plus calmes pendant les vacances. Je vais donc essayer de faire ce tri pendant les 2 semaines qui approchent et j’essaierai certainement de vous faire un retour !

Et toi ? Comment est ta PAL ? Quel est ton rapport avec elle ? Dis-moi tout !

Mirial - Alex Sol

Le dernier article publié ici date de janvier 2018. 5 ans. 5 ans sans poster quoi que ce soit. Même si je sais que je n'ai pas de lecteurs assidus, j'ai le sentiment de quand même devoir des explications. du moins à moi-même. 

Beaucoup de choses ont changé depuis le mois de janvier 2018. D'abord, j'ai terminé mes études. Ca n'a pas été une mince affaire, je dois le dire. Mes cours, mes stages, la rédaction de mon mémoire, ... toutes ces choses ont fait que je n'ai pas pu, pas eu le temps de continuer à tenir ce blog.

J'avais aussi énormément de retard dans mes chroniques avec, sur la fin, plus de 20 livres de retard, ce qui me mettait une pression folle. Autant vous dire que maintenant, on doit largement dépasser les 100.

Ce retour, ça fait quelques mois que je le pense, que je le réfléchis. Maintenant que je travaille, mes journées sont réglées comme du papier à musique. Je me régale toujours autant à regarder plein de films et de séries, à dévorer plein de livres, même si le rythme a un peu diminué ces dernières années. Cependant, je le sens depuis quelque temps, il me manque quelque chose, ce petit twist, qui me fait réfléchir à autre chose que mon boulot. Comme lorsque j'ai ouvert ce blog, j'ai des amis qui lisent, mais je reste toujours celle qui lit le plus et parler de toutes mes lectures avec tout le monde reste compliqué.

Alors, pourquoi pas recommencer ? ... Sans la pression cette fois-ci, je parle de ce que je veux, quand je veux et tant pis si tous les livres ne sont pas chroniqués. Je commence tranquillement, mais il va sans dire qu'en 5 ans beaucoup de choses ont changé et une refonte du blog semble s'imposer. Ca viendra. Patience. Je vais faire ça à mon rythme, sinon, je me connais, je vais lâcher.

Pour ce retour, j'ai décidé de vous parler d'un roman autoédité, découvert hasard et pour lequel j'ai eu un véritable coup de cœur.

Titre : MIRIAL

Auteur : Alex Sol

Edition : Autoédité

Nombre de pages : 529 pages

Date de parution : 12 mars 2021

Résumé : 

"Lena est une sapiens recalée par les forces de sécurité nationale. Elle mène une vie simple et répétitive jusqu'au jour où elle est appelée sur la scène du parjure de sa meilleure amie pour identifier son corps. Aucun doute n'est possible, il s'agit bien de Reesha Machado, journaliste au média l'Insoumis et fille d'un des créateurs du Mirial. Certaine que Reesha n'avait aucune raison personnelle de s'ôter la vie, Léna enquête pour découvrir les raisons de son parjure et reprend les notes de la journaliste pour retracer ses dernières actions. Ce qu'elle va découvrir ne va pas simplement répondre à ses interrogations sur Reesha, mais va remettre tout ce qu'elle croyait en question. De sa propre existence, aux fondements mêmes de Dioscuri : l'arrêt des naissances cent cinquante ans auparavant et l'avènement du Mirial source d'éternité."

J'ai fait la rencontre de ce livre (et de son autrice) complètement par hasard, via des amies à moi qui l'ont rencontrée lors d'un salon de pop culture. Après moultes recommandations, voilà que je craque.
Livre commandé, reçu, déballé. Allez, je termine mon Joël Dicker et je me lance...

Je pense pouvoir dire sans me tromper que Mirial est un roman dystopique. L'histoire prend place dans un futur assez lointain dans une ère post-réchauffement climatique. On va suivre Léna, jeune femme sapiens, qui malgré ses particularités tente tant bien que mal de vivre une vie normale. Son quotidien est fait de chiffres, de routines et de sa meilleure amie ; Reesha. Un jour, Léna est appelée par la police pour identifier le corps de Reesha. L'enquête est facile, les conclusions sont claires : Reesha a commis le parjure, crime suprême dans cette société où la vie est éternelle. Le problème, c'est que Léna n'y croit pas. Elle ne veut pas admettre que sa meilleure amie, sa sœur de cœur, ait pu commettre un tel acte, d'autant plus qu'elle avait une vie de rêve. Léna se lance alors dans une enquête qui va rapidement la dépasser.

Autant le dire tout de suite : ce roman a été un des plus marquants de mon année 2022. Je l'ai lu au mois de juin dernier et je l'ai encore bien en tête. 

J'ai beaucoup aimé le personnage de Léna qui j'ai trouvé très attachante. Elle est neuro-atypique avec des traits autistiques. C'est la première fois que je lis les aventures d'un personnage comme elle et j'ai adoré. Durant tout le roman on sent qu'elle a du mal à s'intégrer, à appréhender les choses comme le font les autres mais elle persévère et se bat contre elle-même. Elle est aussi anéantie par la mort de Reesha et elle choisit de faire face plutôt que de se laisser absorber par le chagrin.

Je ne suis pas fan de dystopie d'ordinaire. Je suis toujours très friande de toute la partie découverte de l'univers mais je décroche dès lors qu'une rébellion s'installe et que les protagonistes cherchent à faire s'effondrer le système. Mirial est bien le seul roman de ce type qui ne m'a pas fait cet effet-là et qui m'a tenue en haleine jusqu'au bout ! J'ai tout aimé : le système, l'univers, les personnages, ... Il y a bien quelques longueurs et quelques défauts dans ce livre, mais plus de 6 mois après, ce n'est finalement pas ce qui me reste en tête.

Je suis finalement bien contente d'avoir découvert cette autrice et ce roman. Je me méfiais de l'auto-édition jusque là, parce que justement il n'y a pas d'éditeur derrière. C'était un préjugé sans fondement car ce roman est finalement plus qualitatif que certains qui j'ai pu lire ... Il va sans dire que, depuis, j'ai lu d'autre romans de l'autrice et que je les ai tous beaucoup aimés. J'ai aussi rencontré Alex Sol au mois de novembre et c'est une perle. Elle parle de ses romans avec beaucoup de justesse et de tendresse. Bref, elle a gagné une fidèle lectrice. 

Et toi ? Tu as lu Mirial ? Je t'ai donné envie de le découvrir ? 

Les livres qui ont marqué mon année 2017

Salut, salut !

Je vous retrouve après une looongue absence pour faire avec vous un bilan de mes lectures 2017 ! 

Cette année a été assez étrange en ce qui concerne la lecture. En effet, après une période plutôt difficile à cause de mes études, le mois de janvier s'est annoncé comme le mois du renouveau, l'ardoise blanche sur laquelle j'allais construire de nouvelles bases. Comme chaque année, j'ai attaqué sur une période de partiels accompagnée pour cette fois ... d'une panne de lecture. Ce genre de choses ne m'était pas arrivé depuis mes années lycée, je pense, et je dois avouer que sur le moment j'ai un peu paniqué. 

S'en est suivi une période de lectures très moyennes, avant de repartir sur un rythme de lecture plus habituel et de belles découvertes.

En 2017 j'ai tourné 12 882 pages, pour une moyenne de 415 pages par livre, étalées sur 50 livres, dont 19 livres numériques et 32 livres papiers parmi lesquels :

Si tu cliques sur les couvertures tu seras redirigé vers un résumé !

• S'il ne devait rester qu'eux

Dans cette première catégorie je voudrais vous présenter mes coups de cœur ultimes de l'année 2017, ceux dont je ne pouvais pas ne pas vous parler.

Commençons par le dernier en date qui n'est autre que Phobos, le tome 4, Il est trop tôt pour respirer (qui n'est pas une surprise si vous savez à quel point j'aime cette saga). Encore une fois, j'ai adoré cette lecture. Encore une fois, ça a été un coup de cœur. Et encore une fois je suis restée pantoise quant aux rebondissements qui bousculent les personnages tout au long du roman.

Ensuite je vous parle de trois livres en un puisque je vous (re)présente la saga Troie de David Gemmell. Si vous avez lu mes chroniques des tomes 1 et 2 (Le seigneur de l'arc d'argent et Le bouclier du tonnerre), vous savez à quel point je suis tombée amoureuse de cette trilogie et combien elle a été importante pour moi en 2017, puisque c'est grâce à elle que j'ai retrouvé un rythme normal de lecture. J'ai aimé y retrouver des personnages aussi célèbres qu'Hector, Achille, Pâris ou encore Cassandre dans cette épopée historique. En tant qu'amatrice de légendes, mythologie grecque et conquête de pouvoir je m'attendais forcément à une lecture particulièrement savoureuse. En revanche, je ne m'attendais pas à ce que l'auteur rationalise de nombreuses parties du récit. Ainsi, le talon d'Achille n'est pas véritablement son talon et le cheval de Troie ne désigne pas une construction en bois dans laquelle se cachent les ennemis de la cité ... En bref, je ne peux que vous conseiller vivement de vous plonger dans ces romans, qui ont été pour moi un coup de cœur, et de m'en donner des nouvelles une fois votre lecture achevée !

• Ceux que j'ai vraiment beaucoup aimés

Les romans que je vais mentionner à présent ont également marqué de façon mémorable mon année 2017, mais dans une moindre mesure que les précédents. Avant d'être la découverte de romans, je pense qu'il s'agit avant de la découverte de deux auteurs français que je n'avais jamais lus, dans deux genres complètement différents : Agnès Martin-Lugand et Gabriel Katz.

Au détour d'un rayonnage, j'avais souvent croisé les écrits d'Agnès Martin-Lugand, avec leurs couvertures aussi discrètes qu'élégantes. Et puis, mue par la curiosité j'ai jeté un coup d’œil au résumé : deuxième ligne et j'étais déjà sous le charme. Après l'achat et la lecture d'un de ses romans je me suis retrouvée dans l'obligation de me procurer les autres. C'est ainsi que j'ai lu Les gens heureux lisent et boivent du café, La vie est facile ne t'inquiète pas et Désolée je suis attendue ...

Ce sont là trois pépites dont je veux vous parler sans trop savoir comment m'y prendre.

Les gens heureux lisent et boivent du café raconte l'histoire de Diane qui souffre d'une perte tragique : celle de sa fille et son mari, tous les deux décédés dans un accident de voiture, un an auparavant. Le personnage que l'on va rencontrer n'a pas particulièrement l'envie et le désir de se ressourcer, bien au contraire. en réalité tout ce que Diane souhaite c'est se réfugier dans ses souvenirs, renter enfermée dans ce cocon de douleur qui l'accompagne chaque jour, de peur d'oublier ses êtres chers. Et puis tout bascule, elle décide d'abandonner ses amis, ses proches et son commerce pour aller s'installer en Irlande où elle pourra se morfondre à longueur de journée sans que personne ne tente rien pour lui mettre un coup de pieds aux fesses. C'est en Irlande qu'elle retrouvera peu à peu le goût de vivre. Je ne m'attendais pas tellement à cela lors de ma découverte de ce roman. Si le côté tragique et le douleur de Diane sont très présents au début de l'histoire, ils laissent vite la place à de nouvelles rencontres qui vont aider Diane à se sortir de cette dépression qui la ronge depuis plus d'un an. Malgré les très nombreuses critiques que j'ai pu lire sur Internet, j'ai trouvé que l'évolution de Diane était relativement bien amenée.

J'ai poursuivi ma découverte d'Agnès Martin-Lugand avec la lecture de La vie est facile, ne t'inquiète pas, dont je ne vais pas trop vous parler étant donné que l'on va retrouver Diane à son retour d'Irlande et à sa vie parisienne. Encore une fois je me suis laissée emportée par le quotidien de Diane.

Enfin, je vous présente Désolée je suis attendue ... Ce troisième roman a été mon préféré entre tous. On y rencontre Yaël d'abord étudiante fêtarde et insouciante qui se voit offrir un poste au sein de l'entreprise dans laquelle elle effectue un stage. On la retrouve ensuite bien plus tard, working-girl passionnée et en même temps imbuvable. En effet, Yaël s'est éloignée de sa famille et de ses amis depuis longtemps, au profit de son boulot. Peu à peu on va comprendre ce qui l'a menée à cette vie, jusqu'au jour où la rencontre d'un ami longtemps disparu va tout remettre en perspective. Je n'en dirai pas plus parce que ma chronique de ce livre n'est pas encore écrite. Toutefois, ce livre a su me toucher comme rarement je l'ai été. J'ai adoré détester Yaël, puis la comprendre, la suivre dans sa quête du passé et dans ses regrets et remords ... Bref, pour moi ce livre est une des plus belles pépites de  2017.

Je vous présente maintenant un auteur que j'ai connu, une fois n'est pas coutume, grâce à Internet et à Youtube : Gabriel Katz. J'avais depuis longtemps entendu parler de cet homme et de ses écrits, très souvent encensés sur la toile sans jamais avoir eu la curiosité de le lire. Et puis, lors d'un énième questionnement concernant ma prochaine lecture je me suis penchée sur Aeternia. Sans trop savoir ce que j'allais découvrir je me suis plongée dedans et laissez-moi vous dire que j'ai bien fait ! Dans cette duologie on va rencontrer Leth Marek, un gladiateur à la retraite qui décide de quitter sa petite ville pour rejoindre la grande cité la plus proche afin d'offrir une meilleure vie à ses enfants. Mais sur le chemin, une rencontre inattendue va chambouler sa vie. Leth Marek se retrouve alors embarquée dans une guerre de religion qui ne l'intéresse nullement dans l'espoir de se venger. En parallèle, on va s'intéresser à Varian, un jeune prêtre de la cité qui aspire à atteindre les plus hautes sphères de la religion. Je pense que le fait que je ne sache pas grand chose de ce roman avant de commencer ma lecture a grandement joué dans le fait que j'apprécie ma lecture puisque je ne m'attendais à rien. J'ai dévoré la duologie en dix petits jours et je me suis laissée emporter par les aventures que vont vivre les différents personnages. Pas de temps pour s'ennuyer car les actions et les rebondissements s'enchaînent, une intrigue palpitante où personne n'est vraiment ce qu'il prétend être et des personnages très attachants sont pour moi la recette de ce succès. 

Je compte poursuivre ma découverte de cet auteur en 2018, notamment avec une autre de ses sagas : Le puits des mémoires.

• Ils méritent tout de même d'être mentionnés

Enfin, je vous présente une troisième catégorie. Ici je voudrais vous parler de romans qui n'ont pas tous été des coups de cœur mais qui ont tout de même contribué à marquer mon année.

Pour commencer, je vous parle de la saga La passe-miroir de Christelle Dabos. Dans l'attente (fébrile) de la sortie du troisième tome, j'ai entrepris de relire les deux premiers. Comme la première fois, je les ai enchaînés et dévorés en quelques petits jours, malgré le fait que ce soit deux énormes briques. Je suis toujours autant friande de cet univers dans lequel tous nos repères sont chamboulés et où la magie est présente partout.

Et puis est venu le moment de lire le troisième tome. Et c'est une petite déception. D'abord je n'ai pas aimé l'arche de Babel qui n'a pas su m'émerveiller comme l’avaient fait Anima ou le Pôle. Ensuite je dois dire que la première partie du roman m'a ennuyée. J'ai trouvé qu'on revenait trop sur le schéma qui a construit le premier tome et au contraire de ce dernier, Ophélie m'y a un peu agacée. Alors pourquoi le mentionner dans mes livres qui ont marqué 2017 ??? Eh bien parce que malgré tout, La Passe-miroir reste une saga que j'adore et que j'ai été ravie de retrouver son univers et ses personnages à la fois lors de ma relecture du tome 1 et 2 mais aussi lors de ma découverte du tome 3.

Durant l'été j'ai eu une "période Jojo Moyes". En effet, j'ai été prise d'une forte envie de relire Avant toi et à la place j'ai choisi de lire deux autres de ses romans. Si tous les deux m'ont fait passer un très bon moment de lecture, j'ai décidé de vous parler aujourd'hui de Jamais deux sans toi. Pour être honnête je ne saurais plus aujourd'hui vous dire ce qui m'a tant plu dans cette histoire. Mais je peux vous dire que les aventures de Jess, mère célibataire qui a du mal à joindre les bouts, et d'Ed, accusé de délit d'initié en attente de son procès, qui entreprennent un voyage à travers le pays a su me toucher. Je me suis attachée aux personnages que j'ai trouvés très humains et malgré la situation un peu surréaliste je me suis laissée porter.

Vient ensuite La dernière réunion des filles de la station service de Fanny Flagg. Cette lecture m'a été conseillée par une très bonne amie à moi alors que je lui racontais à quel point mon début d'année 2017 était difficile niveau lectures. Après recherches je me suis laissée convaincre par celui-ci. Et malgré l'époque pendant laquelle prend place l'histoire j'ai adoré ma lecture. on y retrouve des personnages féminins marquants et forts et j'ai adoré.

Juste avant le bonheur d'Agnès Ledig m'a été conseillé par une dame, croisée à l'occasion d'une promotion "deux poches achetés, un offert". Il a suffit de quelques mots pour me convaincre : "J'ai beaucoup aimé". Ce livre est doux et rafraîchissant avec des personnages hauts en couleur set attachants. Et puis tout bascule et on se retrouve dans une histoire beaucoup plus sombre et malgré tout optimiste. J'ai pris une grande claque littéraire à la lecture de ce roman et ma rencontre avec l'auteur a été grandiose.

Il m'a fallu de nombreuses années avant de me lancer dans le lecture de ce roman qu'est Geisha. Même si l'histoire ne m'a pas transcendée au-delà, j'ai découvert une culture et un monde fascinants. En effet, je n'avais jamais été attirée plus que ça par la culture asiatique et plus particulièrement japonaise. Or, dans ce roman, j'ai touché aux subtilités de l'art de vivre à la japonaise et j'ai découvert le monde si particulier des geishas. Aujourd'hui, plusieurs mois après ma lecture, ce monde-là me fascine toujours autant et je suis toujours ne quête de nouvelles informations. Sans hésitation, ce roman se devait d'entrer dans cet article car il a su me faire voyager dans une contrée qui jusqu'ici ne m'avait jamais attirée.

Attention : l'ordre dans lequel je vous ai présenté les livres n'est en rien un ordre de préférence étant donné que je suis dans l'incapacité d'en établir un. De plus, je ne vous parle pas en détail des romans et de mes avis étant donné que des chroniques ont été écrites/sont à venir.

Et toi ?  Quels sont les livres qui ont marqué ton année ? Dis-moi tout !

Et si on s'aimait ?

Bonjour, bonsoir !

Je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler d'un sujet qui sort complètement de ma zone de confort. Je vous parle de body positive.

• Reprenons depuis le début

J'ai bientôt 24 ans et autant d'années marquées par des problèmes de poids. J'ai toujours été ronde. De toute petite. Enfant j'étais toujours la plus ronde, de même lors de mon adolescence. Mais depuis quelques années le phénomène s'est accentué.

En effet, j'ai la chance de cumuler les facteurs favorisant le surpoids.

En premier lieu le facteur familial. Toutes les femmes de ma famille sont rondes, vraiment toutes. Que ce soit du côté de ma mère comme de mon père elle sont toutes la même morphologie : petites (environ 1m 60) à forte poitrine et toute la panoplie qui vient avec : fesses, hanches, cuisses et bien sûr ventre. Alors si la génétique ne semble avoir épargné personne dans ma lignée, je ne vois pas pourquoi elle le ferait pour moi.

De plus, je viens d'une famille qui aime manger, pour qui le repas est un moment important car c'est le moment où on se retrouve et où on partage énormément de choses. Ainsi, nous aimons beaucoup la bonne bouffe, même si on fait toujours attention à ce que l'on mange, rapport à nos morphologies. En bref, la bouffe c'est important.

Ensuite, j'ai déclenché très jeune une puberté précoce qui s'explique par un dérèglement hormonal. Et devinez quel est le traitement proposé ? Des hormones, vous avez gagné !

J'ai changé plusieurs fois de traitement au cours du temps, et chaque changement s'est accompagné de la prise de 5 à 10 kilos. Kilos que je n'ai jamais réussi à perdre par la suite.

Alors comme vous pouvez vous en douter, depuis toutes ces années j'entends le même discours.

« Vous devez perdre du poids Mademoiselle. » Injonction gentiement prodiguée par la société, par les médecins (à l'exception de mon médecin génraliste qui connaît plusieurs femmes de ma famille et qui a compris le pourquoi du comment) et de plus en plus par les réseaux sociaux (merci Instagram!) ; injonction qui fait toujours plaisir comme vous pouvez vous en douter. Je ne compte plus les fois où je suis sortie du cabinet d'un médecin avec un goût amer dans la bouche, l'impression d'être un caca et l'envie de pleurer. Parce que c'est bien connu les médecins ont un tact de malade.

Alors, si j'ai depuis longtemps compris que je n'aurai jamais la morphologie de Kate Moss, j'ai de nombreuses fois songé qu'avoir moins de ventre, moins de fesses, moins de hanche serait tout de même plus esthétique. J'ai donc fait plusieurs régimes, entamé des programmes sportifs... Lorsque ça a marché, ça a été difficile et ça n'a pas duré : dès que je remangeais normalement, je reprenais les kilos durement perdus.

La société, les médecins, la quête de la minceur, la comparaison malsaine que je fais à chaque fois que je rencontre quelqu'un ont fait que j'ai commencé à culpabiliser, vis à vis de mon propre corps, de ce que je mangeais, de la façon dont je mangeais. C'est encore le cas aujourd'hui. Dès que je me fais plaisir en achetant une viennoiserie, un soda ou une barre chocolatée, je culpabilise, me demandant ce que peuvent bien penser les gens autour de moi. « Ils doivent se dire que ce n'est pas étonnant que je sois ronde, je mange … au goûter. Elle, elle peut se le permettre, elle a un corps de rêve. ». Pourtant j'essaie de manger le plus équilibré possible, je fais attention à ce que je mange sans pour autant oublier de me faire plaisir de temps en temps. Mais cette assiette de frites que j'ai pris à la cantine parce que c'est jour de frites, je vais la regretter tout le repas et une bonne partie de l'après-midi.

Bref, je pense que vous avez compris qu'entre mon corps et moi c'est pas toujours la joie. Il y a des jours avec et des jours sans. Mais même les jours avec, la culpabilité est proche, la peur du regard des autres aussi.

• Et il y a quelques jours...

J'ai passé l'après-midi avec une copine de classe. Autour d'un frozen yogurt (que j'ai pris nature et que j'ai agrémenté de fraises, franboises, kiwi, ananas et chocolat fondu. Chocolat qui m'a bien sûr fait culpabiliser) nous avons discuté de sport, d'alimentation, de corps, … De la vie quoi.

Et puis, alors que je lui racontais que mon corps et moi on n'est pas toujours copains elle m'a dit quelque chose. Une toute phrase, quelque chose qui aurait pu passer inaperçu, que j'aurais certainement pris à la rigolade si je n'avais pas eu besoin de l'entendre à ce moment-là, une chose à laquelle j'aurais pu répondre un simple « merci » et que j'aurais pu oublier deux minutes plus tard. Mais non. Au lieu de ça, j'ai pris une énorme claque.

« Mais enfin Caro, t'es magnifique... »

TU. ES. MAGNIFIQUE.

Trois petits mots. Trois petits mots qui ont mis en perspective toute la façon que j'avais de me voir.

C'est vrai. Elle a raison. Ce n'est pas parce que je suis ronde que je ne peux pas être belle. Ce n'est pas parce que je suis ronde que je ne peux pas être bonne, désirable, que je ne peux pas attirer le regard de quelqu'un, faire envie à quelqu'un...

• Et maintenant ?

Cela fait maintenant plus de dix jours que j'ai pris cette énorme claque et je peux déjà vous dire qu'il n'est pas facile de toujours garder ceci à l'esprit. Cette dernière année n'a pas été des plus faciles, notamment à cause de mes études et j'ai laissé ce mal-être prendre de plus en plus de place dans ma vie : je me compare aux êtres humains qui m'entourent et la vision que j'ai de moi (qu'elle soit faussée ou non) est toujours celle de l'éléphant au centre de la pièce. A l'heure où j'écris ces lignes cela fait trois jours que je suis dans une période creuse avec mon corps.

Pourtant, les choses avaient commencé à changer depuis le début de l'été. D'abord je suis partie en vacances et, contrairement à ce que j'aurais pu penser, je n'ai pas eu peur de montrer mon corps sur la plage. Ensuite j'essaie d'abandonner mes produits cosmétiques pour une alternative plus naturelle (je vous en parlerai dans un autre article si ça vous intéresse) et cela s'est accompagné de soins de corps que je ne faisais pas auparavant. Ainsi, je prends doucement l'habitude de nourrir ma peau avec de l'huile de coco, ce qui me confronte directement à mon corps. Ca a été pour moi une manière de me redécouvrir : mes jambes, mes cuisses, mon ventre, mes seins, mes bras... Je prends soin de tout ce petit monde et ça me fait du bien.

• Qu'est-ce qu'on fait alors ?

Je sais que l'acceptation de soi et l'amour de soi est un processus long et difficile; il y aura toujours des hauts et des bas. Je sais également que nous sommes tous humains et qu'il est pratiquement impossible de s'aimer pleinement. Mais si nous ne nous aimons pas nous-mêmes, qui le fera à notre place ? C'est pour cela que j'ai envie d'entamer ce processus, doucement, à pas de mouche certains jours, à pas de géant le lendemain et parfois à reculons. Je serai peut-être obligée de mettre en place des adaptations, mais rien de drastique comme ce que j'ai pu faire par le passé. A l'heure où je vous parle je pense peut-être à modifier quelques petites choses dans mon alimentation et à me remettre doucement au sport, me remuscler. Toutefois si je mets en place quoi que ce soit je sais que je devrai garder en tête que je fais ça pour moi, pour me sentir bien et non pour perdre du poids, pour rentrer dans une norme ou autre objectif malsain.

Je ne sais pas ce que j'arriverai ou non à faire, à changer mais ce ne serait pas plus mal de pouvoir se regarder entièrement dans une glace et se trouver jolie sans pointer derrière tous les défauts que l'on se trouve.

En conclusion, je n'ai qu'une chose à vous dire : aimez-vous tels que vous êtes, oubliez le regard des autres car celui qui compte le plus au final c'est le votre. Si vous ne vous aimez pas vous-mêmes personne ne le fera à votre place. C'est la leçon que j'essaie de comprendre aujourd'hui.

Ces livres que je voudrais lire cet été

Salut !

Je vous retrouve aujourd'hui pour vous parler de l'été ; et plus précisément des livres que j'aimerais lire durant cette période.

Je pense que vous comprendrez que le but est ici de faire diminuer au maximum ma Pile à Lire, étant donné que pour une fois je ne vais pas travailler cet été. En effet, j'ai le sentiment que l'année qui s'annonce sera longue et que je ne pourrai pas consacrer autant de temps que je le voudrais à la lecture.

Je dois avoir un côté un peu maniaque alors j'ai essayé de respecter un chiffre rond : je vais donc vous présenter pas moins de 15 livres.

• Le goût du bonheur : Gabrielle, Marie Laberge

Je commence par vous parler de la trilogie Le goût du bonheur de Marie Laberge. Cette saga familiale se divise en trois tomes : Gabrielle, Adélaïde et Florent.

Je n'ai pas trop d'informations concernant l'intrigue de ce roman. J'ai eu beau entendre Margaud Liseuse en parler, j'ai tout fait pour me tenir loin du synopsis, tant je souhaite me laisser surprendre par cette saga.

On va retrouver une famille, au début du XXéme siècle, pour qui tout semble aller bien, en cette période de crise. Au cours de la saga, on va suivre les différents personnages : tout d'abord Gabrielle, la mère, Adélaïde, sa fille et Florent, le fils.

• Le jour où Anita envoya tout balader, Katarina Bivald

J'ai lu à la rentrée dernière La bibliothèque des coeurs cabossés de la même auteur. J'avais beaucoup aimé l'histoire qu'elle avait choisi de nous raconter : celle de Sara, jeune suédoise qui, suite à la perte de son travail de libraire, entreprend un voyage aux Etats-Unis pour y rencontrer sa correspondante, Amy, vieille dame de Broken Wheels.

Ainsi, lorsque j'ai vu que son deuxième roman était paru, j'ai patiemment attendu sa sortie en poche avant de me le procurer. Dans ce dernier on va faire la rencontre d'Anita, qui travaille en supermarché. Le jour où sa fille la quitte pour entrer à l'université, elle décide de réaliser ses rêves d'adolescente. Je pense que cette lecture sera de ces lectures doudou dans lesquelles il est si bon de se plonger, et où on rencontre des personnages hauts en couleurs qui savent rester optimistes malgré les difficultés que leur oppose la vie.

• Orgueil et Préjugés, Jane Austen

Ici, il s'agit d'une relecture. En effet j'ai déjà lu ce roman il y a de ça plusieurs années, quelque temps après avoir passé mon bac, je pense. Autant être honnête : je n'ai pratiquement aucun souvenir de cette lecture, si ce n'est que j'avais beaucoup aimé.

Toutefois je pense que j'étais encore un peu jeune pour comprendre tous les tenants et les aboutissants d'un tel roman. Depuis deux ans j'essaie de m'ouvrir à la littérature classique et notamment la littérature anglaise. Je pense que Jane Austen est incontournable, et peut-être parmi les mieux placés pour moi : elle est connue pour ses romances.

• Jane Eyre, Charlotte Brontë

Ce roman raconte l'histoire de Jane Eyre, petite fille, orpheline recueillie par sa tante. Enfant, elle est maltraitée par cette parente et les enfants de celle-ci. Elle entre ensuite dans un internat où son éducation sera faite avant de devenir enseignante et de tomber amoureuse du père d'un de ses élèves : Mr Rochester.

Encore une fois il s'agit d'un grand classique de la littérature anglaise que j'ai très envie de lire. Une de mes amies l'avait lu lors de sa licence d'anglais et me le conseille depuis. Je me suis alors lancée ! ... Et je ne l'ai jamais lu. Mais peut-être vais-je y remédier cet été ?

• Rigante, L'épée de l'orage, David Gemmel

J'ai lu en début d'année une première saga de cet auteur : Troie, dont je vous parle très bientôt. Mon frère m'a offert les deux premiers tomes à Noël et je les ai dévorés en quelques semaines. Je me suis précipitée en magasin pour me procurer la suite et je me suis alors rendu compte que le nom de l'auteur était accompagné de celui de sa femme sur la couverture du troisième volet.

Après une rapide recherche j'ai appris qu'il est mort au court de l'écriture de ce dernier, mais j'ai également pu constater que, de son vivant, il avait été plutôt prolixe.

Ni une ni deux, j'ai décidé de commencer une autre de ses sagas : Rigante.

• L'amie Prodigieuse, Elena Ferrante

Je pense que personne n'a pu passer à côté de ce roman que l'on voit partout en ce moment. J'ai cru comprendre qu'il s'agit d'une saga en trois tomes.

Pour être honnête je ne sais pas trop de quoi il s'agit mais je sais qu'on me l'a beaucoup conseillé. Ajouté à cela le fait qu'on le voit partout et c'en est fini de moi !

• Shannara, l'épée de Shannara, Terry Brooks

J'ai découvert il y a un peu plus d'un an une série nommé Les chroniques de Shannara. Je l'aimais beaucoup, tant pour son intrigue que ses personnages ou encore son univers.

Il y a quelques semaines, je me suis rendu compte qu'elle est en fait tirée d'un livre, ou plus précisément d'une saga. Etant donné que la chaîne de télévision qui diffusait la série ne semble pas lui donner de suite, j'envisage d'entamer une lecture des romans au cours de l'été.

Visiblement l'auteur a écrit pas moins d'une vingtaine de livres autour de cet univers mais je pense me contenter (pour le moment) de la première trilogie. J'ai entendu dire que le premier tome ressemble beaucoup au premier tome du Seigneur des Anneaux, mais je n'ai jamais lu cette saga (que voulez-vous j'ai jamais dépassé le premier chapitre) alors cela m'est bien égal !

Petite mention pour les magnifiques couvertures des nouvelles éditions chez J'ai Lu !

• Belgravia, Julian Fellowes

Julian Fellowes est le créateur de la série Downtown Abbey. Je ne l'ai jamais vue mais je n'ai pas pu passer à côté de son immense succès.

Dans ce roman, il nous entraîne dans l'Angleterre du XIXème siècle. Sophia, jeune femme de haute naissance, va voir sa vie bouleversée lors d'une soirée mondaine à quelques heures de la fameuse bataille de Waterloo. Il s'agit d'un roman à base d'intrigues de cours, de pouvoir et de romance, tout ce que j'aime.

• Le lion, Joseph Kessel

Ce roman se situe dans une réserve du Kenya. Patricia, une petite fille, va faire la connaissance de King, un lion. Petit à petit nous allons assister à la naissance d'un lien très fort entre l'enfant et l'animal et à une amitié hors norme.

Ce roman est, semble-t-il, un classique de la littérature française qui me donne très envie, tant à cause de son cadre que de l'intrigue et de la relation qui va se développer entre les personnages.

• La voleuse de livres, Markus Zusak

Les romans qui se passent pendant la seconde guerre mondiale ne sont pas ceux vers lesquels je me tourne habituellement. Au contraire, j'essaie des les éviter d'abord car ce n'est pas ma période préférée de l'histoire, ensuite parce que j'ai peur de me trouver au sein d'une ambiance beaucoup trop lourde.

Pourtant, La voleuse de livres a su attiser ma curiosité ; notamment grâce à son titre.

De ce que j'ai compris du résumé, on va rencontrer une petite fille qui, par trois fois, a rencontré la mort et y a échappé.

• La cuisinière, Marie Beth Keane

Je vais être honnête : j'espère que ce livre va être une pépite !

Fraîchement débarquée en Amérique, Mary travaille comme lingère, puis comme cuisinière dans des maisons bourgeoises. Malheureusement, tous ses employeurs contractent, les uns après les autres, la typhoïde. Pourtant, Mary reste en parfaite santé. Les autorités sanitaires la placent alors en quarantaine afin d'étudier son étrange résistance. Mary va devoir se battre pour sa liberté.

• Le comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas

L'année dernière je me suis attaquée à un grand classique de la littérature française : Les trois mousquetaires d'Alexandre Dumas. J'étais très excitée et très fébrile à la fois, de peur d'être déçue. Que nenni ! J'ai été très agréablement surprise ! Alors cette année, j'aimerais donner une chance à un autre grand classique, du même auteur : Le comte de Monte-Cristo.

Jeune homme bien sous tout rapport, Edmond Dantès s'attire toutefois les foudres de nombreux rivaux. Il est alors piégé par ses derniers et condamné à de la prison, le jour de son mariage, à quelques minutes d'épouser sa promise.

Edmond va alors passer 14 ans en prison, pendant lesquels un prêtre va faire son éducation. A sa sortie, il va prendre le titre de Comte et changer de nom afin d'assouvir sa vengeance.

J'ai vraiment très envie de découvrir ce roman (qui est une sacré brique, entre nous). En effet, j'espère retrouver une écriture et un rythme similaire à ce qui m'avait fait tant aimer Les trois mousquetaires. De plus je pense que nous ne pouvons pas nier que le résumé est très prometteur !

• Mille femmes blanches, Jim Fergus

Je ne sais pas trop si je m'attends à aimer ce roman ou non, mais je pense qu'il va me révolter car certains passages risquent de heurter la féministe en moi.

En 1874, le président américain accepte de donner mille femmes blanches à un chef indien, qu'il va, pour la plupart prélever au sein de pénitenciers ou de prisons. On va alors suivre l'une d'entre elles, qui va apprendre la vie de squaw et la culture indienne. Peu à peu elle va assister à l'agonie du peuple qui l'a accueillie. 

Je ne sais pas si cette histoire est vraie ou non, je ne sais pas quels sont les termes du marché passé entre le chef indien et le président américain, mais j'attends beaucoup de cette lecture.

• Geisha, Arthur Golden

Je vous parle ici d'un roman qui me fait envie depuis de nombreuses années, sans jamais avoir franchi le pas.

On va rencontrer Sayuri, une petite fille de neuf ans, qui va être vendue par sa famille à une maison de plaisir de Kyoto. Sayuri va d'abord jouer le rôle de servante avant de devenir la protégée d'une geisha qui va la former pour devenir geisha à son tour. Elle va peu à peu se faire un nom au sein du marché des plaisirs de la ville et va devoir lutter, face à de nombreuses rivales, pour garder sa place.

• Le maire de Casterbridge, Thomas Hardy

Je repars encore dans les classiques de la littératures anglaise avec ce roman de Thomas Hardy.

Un soir, un homme va entrer dans une taverne avec sa femme et sa fille. Alors qu'il est soûl, il va vendre sa femme et sa fille, au client le plus offrant.

Bien des années plus tard, cet homme est devenu maire de la ville de Casterbridge et tente comme il peut de se racheter. C'est alors que son ex-femme et sa fille vont réapparaître.

A l'image du roman d'Alexandre Dumas, il s'agit d'un auteur que j'avais découvert par le biais d'un autre de ses romans : Loin de la foule déchaînée. J'avais beaucoup apprécié et je suis, depuis, curieuse de découvrir de nouvelles œuvres de Thomas Hardy.

MENTIONS SPECIALES

• Everything everything, Nicola Yoon

Il est peut-être difficile d'être passé à côté de ce roman, entre le succès qu'il semble rencontrer et le film qui est sorti au cinéma il y a quelques semaines.

On va rencontrer une jeune fille atteinte d'une maladie, communément connue sous le nom d' "enfant bulle". Elle est donc cloîtrée chez elle depuis toute petite, jusqu'au jour où de nouveaux voisins vont arriver. Une amitié avec le fils de ces derniers va alors naître puis se transformer en amour. 

Ça ne vous fait pas penser à quelque chose ? Personnellement, l'intrigue me fait beaucoup penser à Nos étoiles contraires de John Green. Alors j'ai décidé de lui laisser sa chance (oui, l'été c'est fait pour découvrir de grands classiques mais aussi pour des lectures plus légères), mais il va falloir me convaincre car je sais que je vais avoir du mal à ne pas comparer mes lectures !

• Juste avant le bonheur, Agnès Ledig
• Pars avec lui, Agnès Ledig

Je termine enfin avec quelques mots sur ces deux romans d'Agnès Ledig, que j'ai achetés grâce à l'offre de l'été de chez Cultura (mais je crois qu'elle est aussi valable chez Carrefour, Leclerc et à la Fnac !).
Alors que je jetais un œil au résumé, j'ai commencé à discuter avec une femme qui les avait lus et qui les avait énormément aimés. Je suis très friande de recommandations faites par des inconnus alors que je déambule dans les rayons. Du coup, ils ont vite atterri dans mon panier !
Je ne vais pas trop m'attarder sur les intrigues de ces romans mais sachez qu'ils ont l'air d'être des romans doudou comme je les aime tant !

Voilà, cela me fait donc une belle PAL pour les vacances qui s'annoncent ! Les livres que je vous présente ne sont pas dans l'ordre (il n'y en a pas, je fais à l'envie), je ne suis pas sûre de tout lire, il est même possible que je lise certains livres qui ne font pas partie de cette liste. J'espère en tout cas que cet article pourra vous donner des idées pour vos lectures estivales !

Et toi ? Qu'as-tu prévu de lire cet été ? Dis-moi tout !

Favoris début 2017

Bonjour, bonsoir !

En cette fin du mois de Mars, je vous présente mes favoris de ce début d'année.

C'est la première fois que je publie un article pas uniquement livresque sur le blog, mais j'avais vraiment envie de vous parler de tous ces petits objets du quotidien que j'utilise beaucoup depuis le début de cette année.

Autant vous prévenir tout de suite, on va faire un grand tour d'horizon : je vais vous parler de technologie, mode, beauté, musique, séries, films, jeux de société, papeterie...

La liste est longue alors je vous propose de passer à la suite.

• Beauté

Je commence tout de suite avec la catégorie la plus fournie, puisque je dois que j'ai fait de gros gros craquages make-up en ce début d'année.

D'abord je voudrais vous présenter le blush Galifornia de chez Benefit.

J'ai entendu parler de ce blush à sa sortie et j'ai décidé de profiter de mon bon de réduction chez Sephora, sur le point d'expirer. Sincèrement je ne regrette pas cet achat puisque, depuis que je l'ai, je me suis tournée vers lui à chaque fois que j'ai porté un blush.

Je vous présente ensuite mon nouveau fond de teint : j'ai nommé mon nouveau fond de teint, le Lock it Foundation de chez Kat Von D. Je l'avoue, à la sortie de la marque, j'ai fait une razzia.

C'est un fond de teint à la couvrance variable, avec un effet mat, pas trop prononcé. La teinte est parfaite pour moi, il n'a pas besoin d'être poudré, il ne bouge pas. Il m'a fallu quelques jours pour l'apprivoiser complètement mais finalement une éponge à maquillage mouillée fait parfaitement l'affaire. Je l'aime beaucoup, je trouve qu'il a un très joli fini sur la peau, très naturel lorsqu'il est bien travaillé (donc quand j'ai le temps le matin). Toutefois, son fini fait que si je ne mets pas de blush/de bronzer pour réchauffer mon teint, mon visage paraît un peu mort.

Un peu plus tard, courant Mars je me suis procuré le fond de teint Perfection 10h de la marque Sephora. Je voulais quelque chose de moins couvrant et de plus léger pour les beaux jours et celui-ci fait parfaitement l'affaire. Néanmoins, je n'ai toujours pas trouvé la meilleure façon de l'appliquer.

 Je vous parle ensuite d'une palette de fards à paupière. Il s'agit de la Birthday Suit de la youtubeuse beauté Tanya Burr. J'ai craqué après plusieurs semaines d'hésitation, et puis, finalement, quand j'ai vu son prix je n'ai pas hésité plus longtemps. En effet elle ne fait que quelques petits euros, pour une qualité au rendez-vous. Elle est composée de quatre fards, un blanc champagne irisé, deux marron mats et un très beau marron pailleté, que je n'ai pas encore osé porter.

Les fards sont très beaux, bien pigmentés, ne font pas de chutes... Bref, je suis conquise.

Enfin, je vous parle du produit à maquillage qui est certainement mon préféré : les rouge à lèvres. Je ne vais pas vous en présenter un ou deux mais bel et bien six. Comme je ne suis pas très douée pour décrire les couleurs je vous joins des photos, ce sera beaucoup plus fidèle.

En premier je vous présente Kat Von D en teinte Lolita. C'est un nude foncé, un peu marron. Il a un fini matte et tient très bien sur toute la journée, malgré un effet un peu asséchant. 

Je vous présente ensuite, un rouge à lèvre liquide de la marque NYX, en teinte Soft Spoken. La teinte est sensiblement la même que celui de Kat Von D. En plus du prix, la différence réside surtout dans le confort du produit. En effet, celui-ci est beaucoup moins asséchant et beaucoup plus confortable à porter sur toute une journée. Il aura tout de même besoin d'une petite retouche dans la journée, après le repas.

Toujours chez NYX pour je vous parle de leur gamme de rouges à lèvres liquide mattes : les NYX Lingerie. J'en ai quatre, dont un pour lequel je ne suis pas sûre de la couleur. Je vous parle ici des teintes numéro 12, que j'ai depuis plusieurs mois et que j'aime beaucoup, et de la numéro 17, ma dernière acquisition. Comme vous pourrez le voir, le premier est un rose/marron/rouge très beau, et le second un brique/marron. Ces produits sont très mattes et tiennent très bien sur les lèvres. Pourtant je ne les trouve pas plus asséchants que d'autres, le Kat Von D par exemple, à la condition de mettre une couche de baume à lèvres dessous. Laissez-moi vous dire qu'ils ont vraiment une très bonne tenue puisque je ne peux pas les démaquiller ni au démaquillant normal ni au démaquillant waterproof, mais bel et bien à l'huile !

Je vous parle enfin d'un rouge à lèvre de la marque Tanya Burr, en teinte Cocoa Powder. A la différence des deux premiers celui-ci n'est pas matte et a un fini plus crémeux. Il est donc très agréable à porter.Cependant sa tenue n'est que de quelques heures. C'est un nude très clair, qui tire sur le marron (vous remarquerez qu'il y a comme un tendance dans les couleurs que j'aime porter), c'est VRAIMENT la couleur de mes lèvres en mieux. C'est le nude parfait pour moi, ce qui fait que je l'aime beaucoup. Je n'aime pas trop le laisser tel quel une fois appliqué alors je le tapote au doigt après application. Cela permet d'estomper les bords et d'atténuer l'effet brillant, et ainsi on voit encore moins que je porte quelque chose sur les lèvres.

• Technologie

Je vous parle en premier de mon cadeau de Noël : ma Kobo Aura H2O.

J'avais déjà eu une première liseuse de la même marque, il y a quelques années. Mais je ne l'utilisais que très peu, et l'écran s'était cassé, sans trop que je sache comment. Je n'avais pas ressenti le besoin d'en acheter/m'en faire offrir une autre jusqu'à peu. Cet été j'ai pu emprunter celle de ma mère et je me suis rappelé tous les avantages du livre numérique. Après de nombreux messages subliminaux, j'ai eu le plaisir de découvrir mon nouvel amour parmi les cadeaux sous le sapin.

En quelques jours elle est devenu mon nouvel objet chouchou, dont je ne me sépare jamais, même si je n'ai que très peu lu depuis le début de l'année.

Je vous présente maintenant un moteur de recherche qui a pour vocation de planter des arbres : Ecosia. En effet, à chaque recherche que vous faites vous contribuez à planter des arbres.

J'ai énormément de mal à me détacher de Google, mais j'essaie de faire une à plusieurs recherches par jour. Je trouve que cette initiative est vraiment intéressante, et puis, je pense qu'il n'y a pas de petits gestes pour protéger la planète.

• Culture

Il y a environ un mois et demi j'ai été voir La La Land au cinéma. J'aime beaucoup Ryan Gosling et Emma Stone, je suis une grande amatrice de comédies musicales et de romances. J'ai A-DO-RE !

De l'histoire, aux visuels, en passant par la BO, les chorés et les costumes...

Je ne sais pas quoi vous dire pour vous inciter à vous pencher sur ce film. Je n'en savais pas beaucoup lorsque je suis allé le voir et je pense que ça suffit amplement. Le plaisir réside aussi dans la découverte.

Enfin, j'écoute le dernier album d'Ed Sheeran depuis sa sortie. C'est un artiste que j'aime beaucoup et que je suis depuis plusieurs années. Alors laissez-moi vous dire que j'étais comme une gamine le jour de Noël lorsque j'ai appris qu'il avait dévoilé deux nouveaux titres : Shape of you, et Castle on the hill, puis l'intégralité de son album. Je ne vous cache pas que je l'écoute en boucle depuis sa sortie

• Mode

Je vous parle ici d'une paire de chaussure que j'ai trouvée chez H&M (que j'ai beaucoup portées depuis, ce qui explique qu'elles ne soient plus très propres). Elles sont assez hautes, ce qui me convient parfaitement vu que je ne suis pas très grande, avec des semelles très épaisses qui les rendent très confortables. Elle sortent complètement de ma zone de confort puisque je suis plutôt bottines classiques d'ordinaire.

Pour finir je vous présente ce sac à main, pour lequel j'ai eu un coup de foudre. Cela faisait un moment que je l'avais repéré chez Chausséa, mais j'avais résisté.

Il faut savoir que j'ai rarement ce genre de coup de foudre pour un sac à main. Alors lorsque je l'ai vu en magasin pour la deuxième fois j'ai décidé de craquer et de me le procurer. Je comprends qu'il peut ne pas être au goût de tout le monde mais c'est son originalité qui m'a séduite

• Jeu de société

Promis, c'est le dernière catégorie, et donc le dernier favori.

J'ai découvert ce jeu de société en stage, à quelques jours des vacances de Noël. Je n'ai pratiquement pas arrêté d'y jouer depuis. Il s'agit d'un jeu au cours duquel on doit faire deviner un mot, un personnage, une expression, aux joueurs adverses à l'aide de concepts que l'on organise sur le plateau de jeu. C'est un jeu assez compliqué au premier abord, mais, une fois que l'on a compris comment s'organise le plateau, à quoi se réfèrent les concepts, et comment utiliser les différents pions, il est vraiment très chouette et promet des parties de rigolades entre amis.

Voilà ! Je suis désolée pour cet article à rallonge mais je voulais vraiment partager avec vous les favoris de ce début d'année.

Et toi ? Tu as des favoris ? Des choses que tu as envie de partager ? Dis-moi tout !

Tea Book TAG

La rentrée est passée, septembre est bien avancé,  les jours raccourcissent, l'air se fait plus frais, les feuilles des arbres commencent à jaunir ... L'automne arrive. En grande buveuse de thé je vais pouvoir recommencer à déguster ma boisson préférée sans souffrir de la chaleur. Alors je me suis dit que j'allais vous proposer un article en rapport avec ce breuvage. Aujourd'hui je vais m'appliquer à répondre au Tea Book TAG, que j'ai trouvé sur la chaîne de la booktubeuse Margaud Liseuse.

Le tag est composé de dix questions qui nous demandent d'associer un thé et un livre. Pour que ce soit plus clair, je vous propose de commencer tout de suite, cela vaudra mieux que mille mots.

• English breakfast - Un livre que tout le monde t'a recommandé et que tu as donc fini par lire.

Etant donné que je n'ai jamais connu énormément de gens qui aiment lire, et que j'ai tendance à me tenir loin des livres "à la mode" ou qui ont un succès fou, j'ai un peu de mal à répondre à cette question. Mais, je vais dire le tome 1 de la Passe-Miroir, Les fiancés de l'hiver de Christelle Dabos que j'ai lu en début d'année.

J'en entendais parler depuis quelque temps sur de nombreuses chaînes Booktube et quand ma très bonne copine du blog Mon placard sous l'escalier l'a lu et m'a sommée de le lire je me suis exécutée.

Pour vous en parler rapidement on va suivre Ophélie qui se retrouve fiancée de force à Thorn, un jeune homme étrange et mystérieux. Malgré tous ses efforts de résistance, Ophélie va devoir suivre son futur époux. Elle va alors découvrir des personnages, une société et un mode de vie diamétralement opposés à ce qu'elle a toujours connu. Je ne 
m'épanche pas plus, je reviens bientôt vous en parler.

• Earl Grey - Un livre sombre qui t'a laissé une forte impression même après l'avoir terminé.

Contrairement à la première, la réponse à cette question m'est rapidement venue. Néanmoins, je serais incapable de vous donner le titre de ce livre, l'auteur et encore moins de vous en faire un résumé détaillé.

Je peux seulement vous dire qu'il s'agit d'un roman policier assez court qui se passe dans un asile psychiatrique. (Je n'ai jamais dit qu'il s'agissait d'un roman joyeux) L'hôpital va être victime d'une série de meurtres. L'intrigue se passe en huis clos si j'ai bonne mémoire, ce qui ne rend la lecture que plus intéressante.

En bref, malgré le fait que les romans policiers ne fassent pas partie de mes genres préférés, celui-ci m'avait bien fait frissonner et m'avait hanté pendant un moment. Promis, je vais continuer à chercher ses références.

• Rooibos - Un livre qui t'a fait découvrir un autre pays.

La réponse à cette question est on ne peut plus évidente. Il s'agit bien entendu de la saga Outlander de Diana Gabaldon.

Avec cette saga l'auteur nous fait découvrir l'Ecosse et ses paysages sauvages.

• Chaï - Un livre de ta PAL, que tu es sûre d'aimer avant même de l'avoir lu.

Je n'ai pas vraiment de roman de ce genre en ce moment dans ma PAL. Mais vu que je suis obligée d'en choisir un je vais dire Le pays du nuage blanc de Sarah Lark, dont j'ai entendu parler à plusieurs reprise sur la sphère booktube.

Je pense que quoi qu'il arrive j'aimerai ce livre, d'abord parce que je n'en ai entendu que du bien et ensuite parce que, de ce que j'ai pu comprendre, les deux personnages principaux vont nous embarquer à la découverte de la Nouvelle-Zélande. Or, j'aime énormément partir à l'aventure dans mes lectures et découvrir de nouveaux horizons.

• Darjeeling - Une pépite que tu aimes tellement que tu la recommandes à tout le monde.

Cette réponse est toujours la même. Il s'agit de La grammaire est une chanson douce de Erik Orsenna.

Je n'y reviendrai pas dessus mais, sérieusement, lisez ce livre, c'est une véritable pépite !

• Oolong - Le genre livresque que tu considères comme ton péché mignon.

La romance ! Je l'ai déjà dit ! Je suis une amoureuse-née. J'aime l'amour et j'aime tomber amoureuse. Alors une petite romance et ça repart !

• Ginseng - Un livre qui t'a fait sortir d'une panne livresque.

Les amants de Grenade de Laurence Vidal. Je venais de terminer Beloved de Toni Morrison qui m'avait franchement laissée sur ma faim. J'avais adoré le début et je m'étais ennuyée sur la fin.

Alors pour sortir de cette panne livresque j'ai choisi une valeur sûre : une romance. Quand je dis que j'aime l'amour... Sur les conseils de ma mère j'ai lu ce livre. Cela faisait des années qu'elle m'en parlait, qu'elle me disait à quel point ce roman était bien, surtout pour une amoureuse de romances comme moi. Quelle bonne idée ! J'ai énormément aimé ce livre, la relation du sultan et d'Isabel est magnifique. On est passé à un cheveu du coup de coeur.

• Camomille - Un livre qui t'a endormi et que tu n'as pas pu finir.

Pour ne pas toujours citer le même je vais dire Le trône de fer, Tome 2 de George R. R. Martin.
Je suis une grande fan de la série télé. Et en amoureuse des livres j'ai décidé de me lancer dans la lecture de la saga. Mauvaise idée. La série télé est très très très fidèle aux livre. En tout cas pour les deux premiers. Ce qui fait que, alors que je venais de voir les deux premières saisons, j'ai eu l'impression de lire la série. Au mot près parfois.

• L'assam - Un livre qui t'a chamboulée mais que tu n'as pas pu reposer avant de l'avoir fini.

Deux petits pas sur le sable mouillé, d'Anne-Dauphine Julliand.

Il s'agit d'un témoignage. Dans le livre on va rencontrer une jeune maman de deux enfants Oscar et Thaïs. Un jour, sur la plage, Anne-Dauphine Julliand remarque que les empruntes de pas de sa fille sont étranges, un de ses petits pieds est rentré. S'en suit alors un défilé de médecins. De spécialistes en spécialistes, les désillusions sont de plus en plus grandes. Et puis, un jour, le diagnostic tombe : Leucodystrophie métachoromatique.
Ce livre raconte le combat de deux parents contre la maladie qui touche leur petite fille et celle à venir. C'est très bien écrit, touchant, bouleversant. Bref, j'avais beaucoup aimé.

• Thé vert Matcha - Le livre que tu considères comme le joyau de ta bibliothèque.

Promis, je ne répondrai pas Harry Potter.
Je vais dire Autant en emporte le vent. Pour être honnête je n'ai pas encore lu ce livre. Et il n'est pas beau. Mais il est vieux. Très vieux. Il a connu trois générations de femmes dans ma famille, de nombreuses lectures et relectures et, malgré quelques pansements maison, il tient toujours debout et il attend sagement que je le sorte de ma bibliothèque et me lance.


Et toi ? Tu a lu tous ces livres ? Tu comptes le faire ? Tu aurais répondu quoi ? Dis-moi tout !